www.suffrage-universel.be
Elections musulmanes 2005

http://fr.groups.yahoo.com/group/suffrage-universel/message/2297

06/09/2004 - L'expert du Ministère de la Justice sur la gestion publique du culte musulman

[ndPYL Un des participants au colloque du 21 septembre m'a demandé d'éclairer la lanterne des lecteurs de "suffrage universel" sur Abbès GUENNED, l'expert ès-"gestion publique du culte musulman" envoyé audit colloque par Mme la Ministre de la Justice Laurette ONKELINX. En fouillant sur internet j'ai notamment trouvé deux articles publiés récemment sur indymedia par un certain "Jacques LECOUR" qui se base manifestement sur les mêmes sources que moi. Je tiens donc à préciser que je n'ai rien publié sous pseudonyme depuis 1991 ("Elio CONSTANTINO"), sauf quand je sévissais sur les forums de discussion de usenet (ou "René VANDERPAS" en septembre 2002 pour rendre compte des élections législatives au Maroc). Je ne suis donc pas "Jacques LECOUR", voilà c'est dit.]

annonce du colloque du 21/09/2004 (Colloque international de clôture du projet européen "Cultes et cohésion sociale" soutenu par l’U.E. : "GOUVERNANCES LOCALES ET DIVERSITE RELIGIEUSE : LE CAS DU CULTE MUSULMAN EN EUROPE ET AU CANADA")http://www.flwi.ugent.be/cie/CIE2/PDF%20depliant%20colloque%20cultes%2021092004.pdf

articles sur Abbes GUENNED parus dans Le Soir et sur Indymedia

Page Une:
Le Soir Vendredi 19 septembre 1997

Demande d'extradition irrecevable

L'ex-époux de la ministre Onkelinx réclamé par le Maroc

Le journal flamand " De Standaard " annonçait, dans ses livraisons de jeudi, que l'ex-mari de Laurette Onkelinx, la ministre-présidente de la Communauté française, faisait l'objet d'un mandat d'arrêt international délivré à son encontre pour " trafic de drogues " et " association de malfaiteurs ".

Le parquet de Bruxelles a confirmé que M. Abbes Guenned, 38 ans, avait été interpellé le 31 août dernier au passage frontière de l'aéroport de Bruxelles-National en raison d'un avis au BCS (Bulletin central de signalement) renseignant l'existence d'une demande d'extradition formulée par les autorités de Rabat.

AUCUNE PRÉCISION DE RABAT

Selon le ministère de la Justice, Abbes Guenned serait effectivement recherché dans le cadre d'un trafic de stupéfiants. Mais nous n'avons pas encore été informés des motifs qui soutiennent cette demande, a déclaré un porte-parole.

Selon le parquet de Bruxelles, M. Guenned a été remis en liberté une vingtaine de minutes après son interpellation par les gendarmes. Le substitut de garde au parquet de Bruxelles, constatant qu'Abbes Guenned, d'origine marocaine, était de nationalité belge, a donné instruction de le laisser regagner son domicile.

La Belgique, comme la plupart des pays, n'extrade pas ses nationaux. L'intitulé lapidaire de la demande d'extradition, non autrement étayée, se serait de toute façon révélé insuffisant pour retenir M. Guenned s'il avait été de nationalité étrangère.

Abbes Guenned a fait savoir qu'il n'apercevait pas les raisons qui pourraient justifier la demande d'extradition lancée par le Maroc, qui a conclu en 1959 un traité d'entraide judiciaire avec la Belgique. L'ex-époux de Mme Onkelinx s'est par ailleurs dit d'autant plus surpris par les informations diffusées par le " Standaard " qu'il a voyagé à plusieurs reprises, cette année, sans jamais être inquiété ou interrogé sur quoi que ce soit.

A Rabat, le ministère marocain de l'Intérieur s'est refusé à se prononcer sur les raisons qui ont motivé un juge d'instruction à lancer, par le canal d'Interpol, une demande d'extradition.

Par ailleurs, le " Standaard " affirmait qu'au moment de son interpellation à Zaventem, Abbes Guened, divorcé depuis le 5 août dernier, était porteur d'un document diplomatique, un " passeport de service " délivré aux épou(x)se, compagn(e)on et enfants des ministres.

Ce document, précise le ministère des Affaires étrangères, ne fait bénéficier son titulaire d'avantages qu'au moment des passages à la frontière mais n'apporte aucune immunité. Abbes Guenned, divorcé, a, depuis, remis son passeport.

Si la justice marocaine veut faire poursuivre Abbes Guenned, elle n'a d'autre choix, en raison de sa nationalité belge, que de dénoncer les faits à la Belgique. Ce serait alors au parquet général de Liège d'instrumenter les poursuites, l'ex-époux de Laurette Onkelinx résidant à Neupré.

M. M.

Page Une:
Samedi (25 juillet 1998)

Problème administratif entre le Maroc et la Turquie,selon son avocat

L'ex-mari de Laurette Onkelinx arrêté à Izmir

Abbes Guenned, l'ex-mari de Laurette Onkelinx, ministre-présidente de la Communauté française, a été arrêté mardi dernier à Izmir (Turquie). C'est dans le cadre d'un mandat d'arrêt international délivré par les autorités judiciaires marocaines que M.Guenned a été interpellé. Ce mandat d'arrêt international porte sur un trafic de stupéfiants. Selon l'avocat belge d'Abbes Guenned, Me Marc Uyttendael, il ne s'agit pas d'une véritable arrestation de son client, mais plutôt d'une simple détention administrative prolongée, due à un problème "administrativo-judiciaire" entre la Turquie et le Maroc.
L'année dernière, en Belgique, M. Guenned avait déjà été interpellé par les services de police de Zaventem dans le cadre de ce mandat international marocain , explique-t-il. Il s'agit d'une demande formulée par le Maroc pour l'entendre dans le cadre d'un dossier ouvert là-bas. Mais, lorsque la Belgique a demandé quelques informations complémentaires au Maroc au sujet de ce dossier, elle n'a pas obtenu de réponse. M. Guenned a dès lors été "désignalé" à rechercher. Manifestement, cela n'a pas encore été fait en Turquie. Selon moi, c'est une simple question de jours , précise l'avocat qui est en contact avec un collègue turc pour cette affaire. Et il conclut: Il n'est en tous les cas pas question d'extradition.
L'arrestation en Turquie remonte au 21 juillet dernier, alors que M. Guenned et ses enfants se rendaient en vacances dans ce pays où vit une partie de leur famille. Immédiatement, le consul honoraire belge en poste à Izmir a été alerté et a pris les enfants de Laurette Onkelinx en charge tandis que l'officier de liaison de la police belge en poste à Istanbul était, lui, mis au courant de l'affaire.
Les deux enfants ont été rapatriés le jour même en Belgique où ils ont été accueillis par les services de police de l'aéroport de Zaventem avant d'être remis à leur mère.
A Bruxelles, les services de police confirment que l'avis de recherche international lancé à l'époque par le Maroc à charge d'Abbes Guenned ne reposait sur rien de concret. Tout au plus sur de simples allégations formulées à son encontre au Maroc, nous précisait un policier.
Abbes Guenned avait déjà été intercepté, sur base de cet avis de recherche, le 31 juillet 1997, à l'aéroport de Bruxelles-National. Il était porteur du passeport diplomatique auquel lui donnait droit sa qualité d'époux de la ministre-présidente. Son divorce a été prononcé le 31août 1997. La Belgique n'extradant pas ses nationaux, il n'était pas pas question de le livrer au Maroc. Le parquet de Rabat n'avait alors fourni aucun élément du dossier à la justice belge.
Le ministère de l'Intérieur marocain se refuse toujours à détailler les raisons qui ont valu à Abbes Guenned d'être poursuivi pour trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs.

C.D.B. et M. M.

Petites gazettes:
Le Soir Lundi 22 novembre 1999

MONSIEUR ET MADAME UYTTENDAELE - ONKELINX


La vice-Première et ministre de l'Emploi, Laurette Onkelinx, a épousé samedi après-midi en secondes noces l'avocat bruxellois Marc Uyttendaele. La cérémonie civile s'est déroulée en toute simplicité à la maison communale de Seraing (à Jemeppe), en présence d'amis du couple et de personnalités politiques (André Flahaut, Jean-Pierre Grafé, Rudy Demotte, Roger Lallemand, Pierre Hazette, Antoine Duquesne...). Le bourgmestre serésien Jacques Vandebosch, l'échevin des affaires sociales, Jacky Lambrecht, et des proches des époux ont pris la parole. Comme témoins, les mariés avaient choisi leurs anciens conjoints: Abbès Guenned, papa de Sami et de Sarah, pour Laurette Onkelinx, et Evelyne Demartin, maman de JuLaurette Onkelinx, et Evelyne Demartin, maman de Julien, pour Marc Uyttendaele. La ministre, qui serrait entre ses mains un bouquet de fleurs rouges, portait un tailleur pantalon gris. A l'issue de la cérémonie civile, les invités ont gagné l'abbaye du Val Saint-Lambert. (Belga.)

http://www.indymedia.be/news/2004/08/87723.php

Ministre Onkelinx au-dessus de la justice?
by Jacques Lecour Monday, Aug. 30, 2004 at 4:34 PM

jacques_lecour@yahoo.fr

LA MINISTRE LAURETTE ONKELINX S'INGERE DANS LES AFFAIRES INTERNES DE L’ISLAM VIOLATION DE LA NEUTRALITE DE L’ETAT?

LA MINISTRE LAURETTE ONKELINX
S'INGERE DANS LES AFFAIRES INTERNES DE L’ISLAM

VIOLATION DE LA NEUTRALITE DE L’ETAT?

Le 31 mai 2004, le mandat de l'Exécutif Musulman de Belgique prend fin ainsi que l'a prévu l'arrêté royal du 18 juillet 2003. Un accord avec le gouvernement de l'époque (mars 1998) stipulait qu'un tiers des 68 membres de l'assemblée générale musulmane serait remplacé après 5 ans de fonctionnement. Cette assemblée veut s'en tenir aux principes généraux de l'accord, mais c’est sans compter avec la ministre de la justice, Laurette Onkelinx. Alors qu’elle devrait respecter le principe de neutralité de l'Etat, elle déclare publiquement sa préférence pour des élections générales de l'organe représentatif du culte musulman.

Il semblerait que rien n'ait pu arrêter la ministre dans sa détermination à s'ingérer dans les affaires religieuses de la communauté musulmane, pas même les motions déposées par des députés à la Chambre des Représentants, ni l'avis du Conseil d'Etat. Elle réussit un tour de force: sous son égide le projet de loi visant à former une commission pour organiser le renouvellement des organes du culte musulman est soumis au parlement. Celui-ci l’examine et adopte la loi en Chambre des représentants et au Sénat en seulement quatre jours, alors que normalement ces procédures prennent des semaines ou des mois. Le 17 juillet 2004, la loi est votée.

Des membres du parlement l’interpelle au sujet de son interférence avec les affaires internes de la religion musulmane. Lors de la séance plénière de ce samedi 17 juillet 2004, la Sénatrice Clotilde Nyssens rapporte que certains se demandent "pourquoi dans notre état un organe représentatif existant peut être remis en cause de l'extérieur, jugé sur son fonctionnement et remplacé par un nouvel organe en suivant des règles différentes de celles initialement et légalement fixées". Bien évidemment, en tant que ministre de la justice, Madame Onkelinx est responsable des cultes, mais cela ne lui donne pas le droit ni le pouvoir d'ignorer le principe fondamental de la neutralité de l'Etat en matière de religion, ni l'autorité de changer les règles établies pour cet organe représentatif.

Madame Onkelinx maintient qu'elle travaille pour le bienfait de la communauté musulmane, mais il semblerait même qu'elle soit influencée par sa famille. Par exemple, le précédent ministre de la justice Marc Verwilghen, avait mis un véto sur la nomination de 8 des 16 membres de l'Executif des musulmans parce qu'ils étaient suspectés par la Sûreté de l'Etat d'être fondamentalistes. Seulement, le mari de Laurette Onkelinx (l'avocat Marc Uyttendaele) avait pris la défense de ces 8 intégristes. Un peu plus tard, Madame Onkelinx, devenue ministre de la justice, s'empresse de placer ces 8 intégristes au sein de l'Exécutif des musulmans. En face de telles actions on se demande quels sont les motifs véritables.

Pour justifier ses actes, Madame Onkelinx va jusqu'à faire le commentaire suivant à Mr Tony Van Parys durant une discussion au Sénat: "Si un jour la Sûreté de l'Etat me disait que vous êtes un dangereux intégriste, je m'informerai pour savoir si l'ensemble des éléments contenus dans le rapport peuvent être confirmés". Madame la ministre n*aurait-elle pas confiance en son personnel de la Sûreté de l’Etat?

Autre personne qui semble influencer la ministre est son ex-mari, recherché par la police marocaine il y a quelques années et placé sous mandat d'arrêt international pour trafic de drogue et association de malfaiteurs. Installé douillettement dans les bureaux même du ministère de la justice, il fait actuellement figure de médiateur entre les différentes organisations musulmanes et la ministre. C'est, semble- t-il, par son intermédiaire, que la ministre reçoit l'Union des Mosquées et trois autres représentants pour discuter du renouvellement total de l'Exécutif des musulmans. Le 8 avril 2004, elle s'empresse d'écrire une lettre à l'organe actuellement en fonction indiquant que les responsables consultés sont favorables à l'organisation d'élections générales pour le renouvellement intégral de la Constituante et ce, derrière le dos de ce même Exécutif des musulmans, qu’elle traite implicitement comme des incapables. C'est pourtant l'organe officiel qui représente la religion musulmane - l'une des 6 religions reconnues en Belgique! Voici une violation nette de l'article 9 de la Convention sur les droits de l'homme.

D’où cet engouement à vouloir absolument organiser des nouvelles élections et à faire disparaître les membres actuels de l'Exécutif? Pense t-elle que la communauté musulmane n'est pas capable de gérer elle-même ses élections? Ou bien veut-elle faire de l'Exécutif des musulmans des moutons dociles et les rendre dépendants de décisions politiques du ministère de la justice? Lors d'une question posée par la député Mia De Schamphelaere, le 25 mars 2004, Laurette Onkelinx répondait que l'Exécutif était en mesure de régler lui même l'élection, qui est conforme à notre cadre constitutionnel. Mais à la fin du mois de juin, la ministre voulait soudainement organiser l'élection par arrêté royal. D'après les dernières nouvelles, les élections générales de la Constituante auront lieu à l'automne ou au début 2005.

Un entêtement de cette sorte pourrait ressembler à un manque de clairvoyance ou à de la stupidité mais ne nous leurrons pas. Les Belgo-Marocains votent plutôt socialiste et certains leaders religieux marocains se seraient engagés à appeler à voter PS. L'ingérence
de Madame la ministre dans les affaires internes de la religion musulmane pourrait bien finir par desservir le PS.

A suivre ...

http://www.indymedia.be/news/2004/09/87798.php

... encore Laurette Onkelinx ...
by Jaques Lecour Friday, Sep. 03, 2004 at 2:26 PM
jacques_lecour@yahoo.fr

La controvèrse concernant le renouvellement de l'Exécutif des musulmans a fait beaucoup de bruit dans le monde politique Belge et en fera certainement encore dans les mois à venir. Dans cette polémique médiatisée on retrouve Madame Onkelinx, ministre de la Justice Belge comme ayant été le principal acteur. Mais ce qui est moins connu, c'est le rôle joué par un personage obscur dans les coulisses du ministère de la justice. Il s'appelle Abbes Guenned et c'est l'ex-mari de Madame Onkelinx. Affaire de Famille?

Oui, Monsieur Guenned, citoyen belge d'origine marocaine, est installé confortablement dans les bureaux même du ministère de la justice. Il y occupe un poste "non officiel" de conseiller dans les affaires musulmanes et il semblerait qu'il ait servi d'intermédiaire entre Madame la ministre et les différentes communautés musulmanes qui réclament le renouvellement intégral de l'organe du culte musulman.

Il y a quelques années, Monsieur Abbes Guenned était placé sous mandat d'arrêt international par les autorités marocaines pour trafic de drogue et association de malfaiteurs. Il a en fait était interpellé une première fois à l'aéroport de Bruxelles le 31 juillet 1997 mais il a pu s'en sortir avec l'aide d'un passeport diplomatique, utilisant le privilège d'être le mari de Laurette Onkelinx, qui était alors ministre-présidente de la Communauté Française. (Son divorce d'avec Madame Onkelinx a été officialisé environ un mois après.) D'après les normes administratives, un passeport diplomatique est valable pour un maximum de deux ans. Au moment où le passeport de Monsieur Guenned lui a été remis, il est dit que son nom n'est pas apparu dans le Bulletin central de Signalement (bulletin ayant pour fonction de reprendre tous les avis de recherche du pays), alors qu'en 1997 Abbes Guenned découvre que son nom est inscrit sur ce bulletin. En effet, le mandat d'arrêt aurait été délivré par les autorites marocaines deux ans avant l'arrestation de Guenned en Turquie, soit en 1996. Cependant, son passeport diplomatique ne fut pas abrogé à l'époque.

La deuxième arrestation s'est passée le 21 juillet 1998 en Turquie sur la base du même mandat d'arrêt international, alors que Monsieur Guenned était en vacances avec ses enfants. Il a été arrêté à l'aéroport de Adnan Menderes sur son chemin du retour. Il fut envoyé en procès et libéré, mais la Cour Supérieure a fait appel résultant en une autre arrestation de Monsieur Guenned deux jours plus tard.

Le journal turc Milliyet raconte que Monsieur Guenned a été accusé par le Maroc de trafic de stupéfiants et c'est pour cette raison qu'il fut emprisonné en Turquie. Ajoutons que le ministre de la justice turc, Hassan Denizkurdu, aurait été contacté par Abbes Guenned afin de ne pas être envoyé au Maroc. D'après ce même article, Guenned était recherché d'après la fiche rouge d'Interpol. Interpol publie deux types de fiches rouges: l'une est basée sur un mandat d'arrêt concernant une personne qui est recherchée pour poursuite en justice, l'autre est basée sur une décision de tribunal concernant une personne recherchée pour purger une peine de prison.

A cause de cet incident, le département des affaires légales de Casablanca a contacté le ministère de la justice turc et a demandé que Guenned soit livré au Maroc puisque accusé de trafic de drogue vers l'Europe. Le ministre de la justice de Fès (Maroc) serait aussi intervenu avec la même demande.

En réponse à tout cela, une lettre émanant du département de justice de Bruxelles présente Guenned comme étant un citoyen belge depuis 18 ans et dit qu'il n'y a "pas de mandat d'arrêt" et que par conséquent il devrait être libéré. De plus Monsieur Uyttendaele, son avocat Belge, et l'actuel mari de Laurette Onkelinx, explique au journal Le Soir, le 25 Juillet 1998 que "il ne s'agit pas d'une véritable arrestation mais d'une détention administrative prolongée due à un problème 'administrativo-judiciaire' entre la Turquie et le Maroc".

Comment cette affaire s'est-elle terminée? Abbes Guenned était un des temoins au mariage de Laurette Onkelinx et de Marc Uyttendaele, ce dernier ayant également été l'avocat de Guenned. Monsieur Guenned travaille aujourd'hui aux côtés de son ex-femme, Madame la ministre de la justice.

Famille intéressante...

 


www.suffrage-universel.be
Elections musulmanes 2005